Lundi 30 septembre
Aujourd'hui, nous avons décidé de choquer tous nos proches en allant à la plage. En maillot. Pour prendre le soleil.
Shocking!
Nous prenons le petit déj' vers 09.30 mais alors que Maguth me guide pour sortir la voiture du petit parking, je l'entend me dire "va y avoir un problème là". Je sors et constate que, en plein milieu du chemin, se trouve un âne.
Il s'agit de Geronimo. Kathy et Patrick arrivent de suite pour le ramener dans la colline, mais il refuse de bouger. Nous rigolons et gratouillons Geronimo, dont la lèvre inférieure devient toute molle quand je lui gratte les oreilles. Patrick tente alors de l'appâter avec du pain et des peaux de fruits mais Geronimo est amoureux de moi et décide de me suivre partout. Je dois lui expliquer que je suis mariée et que ce n'est pas possible. Il me dit qu'il n'est pas jaloux mais c'est une histoire impossible. De dépit, Geronimo suit Patrick et se réfugie dans la nourriture.
Après avoir éconduit Geronimo, nous pouvons nous rendre à la plage de Cavalière (à 5 min en voiture de Massacan). Nous louons des transat et un parasol sur une plage d'un hôtel (qui ne demande qu'à se faire des sous sur ces locations inespérées hors saison). Je tente alors une entrée dans ce machin bleu qui s'appelle la mer et que j'aimais tant quand j'étais petite. L'eau est fraîche mais pas désagréable. Je rentre lentement dans l'eau avant de tenter quelques brasses et de me laisser emporter par les vagues en poussant de joyeux "Wiiiiii!". Perdant pied, je bois une bonne tasse, ce qui me remémore que l'eau de mer, c'est quand même bien salé et dégueulasse.
Nous passons 2 heures à la plage, Maguth a lire et à me réveiller pour que je me retourne comme une crêpe. L'effet plage+vague a un effet somnifère terrible sur moi. Nous mangeons dans un resto le long de la plage, pas de la grande cuisine mais pas trop cher non plus, puis la vue faisait si vacances...
Nous rentrons à Massacan vers 14.00 et j'en profite pour finir mon livre sur la terrasse. Maguth en profite pour marcher un peu et emprunte le sentier balisé par Kathy et Patrick (il me confirme que le sentier est clairement impraticable en sandales).
L'après-midi passe lentement et langoureusement, et nous allons rejoindre Kathy et Patrick pour notre dernier repas en leur compagnie. Patrick nous a préparé une anchoïade délicieuse, et Kathy un cake aux fruits de mer et au chou-fleur, une daube de poulpe (pourpre en provençal) et une charlotte aux fruits et au rhum que nous n'avons pas pu finir tant le repas était copieux. Nous avons ris de bon cœur et je suis nostalgique de ces repas joyeux et délicieux, autant pour la nourriture que pour la compagnie.
Demain, nous reprenons la route et je pense à faire le trajet en une fois...
Mardi 1er octobre
Nous nous levons à 08.00, faisons nos sacs et prenons notre dernier petit déj' sur cette belle terrasse avec Pita et Youki qui vont me manquer. Je savoure mon dernier croissant à la confiture d'orange et profite encore un peu de cette belle vue et de ce calme si régénérateur. Ses vacances étaient parfaites.
Nous nous mettons en route à 10.00 après avoir quitter Kathy et son rire si contagieux, Patrick et ses histoires avec M. Bertrand, les sangliers et les chasseurs, l'adorable Pita et le vieux sage Youki. Ils me manqueront, c'est sûr.
J'ai finalement réussi à faire le trajet en une fois. Nous sommes rentrés à 22.00 et j'ai couru chercher mon petit cœur, ma petite Lucy, qui semble avoir elle aussi passé de bonnes vacances chez sa Tata Ju. Nous la ramenons à la maison, un peu perturbée, et allons nous coucher tous les trois, heureux.
Il s'agit de Geronimo. Kathy et Patrick arrivent de suite pour le ramener dans la colline, mais il refuse de bouger. Nous rigolons et gratouillons Geronimo, dont la lèvre inférieure devient toute molle quand je lui gratte les oreilles. Patrick tente alors de l'appâter avec du pain et des peaux de fruits mais Geronimo est amoureux de moi et décide de me suivre partout. Je dois lui expliquer que je suis mariée et que ce n'est pas possible. Il me dit qu'il n'est pas jaloux mais c'est une histoire impossible. De dépit, Geronimo suit Patrick et se réfugie dans la nourriture.
Après avoir éconduit Geronimo, nous pouvons nous rendre à la plage de Cavalière (à 5 min en voiture de Massacan). Nous louons des transat et un parasol sur une plage d'un hôtel (qui ne demande qu'à se faire des sous sur ces locations inespérées hors saison). Je tente alors une entrée dans ce machin bleu qui s'appelle la mer et que j'aimais tant quand j'étais petite. L'eau est fraîche mais pas désagréable. Je rentre lentement dans l'eau avant de tenter quelques brasses et de me laisser emporter par les vagues en poussant de joyeux "Wiiiiii!". Perdant pied, je bois une bonne tasse, ce qui me remémore que l'eau de mer, c'est quand même bien salé et dégueulasse.
Nous passons 2 heures à la plage, Maguth a lire et à me réveiller pour que je me retourne comme une crêpe. L'effet plage+vague a un effet somnifère terrible sur moi. Nous mangeons dans un resto le long de la plage, pas de la grande cuisine mais pas trop cher non plus, puis la vue faisait si vacances...
Nous rentrons à Massacan vers 14.00 et j'en profite pour finir mon livre sur la terrasse. Maguth en profite pour marcher un peu et emprunte le sentier balisé par Kathy et Patrick (il me confirme que le sentier est clairement impraticable en sandales).
L'après-midi passe lentement et langoureusement, et nous allons rejoindre Kathy et Patrick pour notre dernier repas en leur compagnie. Patrick nous a préparé une anchoïade délicieuse, et Kathy un cake aux fruits de mer et au chou-fleur, une daube de poulpe (pourpre en provençal) et une charlotte aux fruits et au rhum que nous n'avons pas pu finir tant le repas était copieux. Nous avons ris de bon cœur et je suis nostalgique de ces repas joyeux et délicieux, autant pour la nourriture que pour la compagnie.
Demain, nous reprenons la route et je pense à faire le trajet en une fois...
Mardi 1er octobre
Nous nous levons à 08.00, faisons nos sacs et prenons notre dernier petit déj' sur cette belle terrasse avec Pita et Youki qui vont me manquer. Je savoure mon dernier croissant à la confiture d'orange et profite encore un peu de cette belle vue et de ce calme si régénérateur. Ses vacances étaient parfaites.
Nous nous mettons en route à 10.00 après avoir quitter Kathy et son rire si contagieux, Patrick et ses histoires avec M. Bertrand, les sangliers et les chasseurs, l'adorable Pita et le vieux sage Youki. Ils me manqueront, c'est sûr.
J'ai finalement réussi à faire le trajet en une fois. Nous sommes rentrés à 22.00 et j'ai couru chercher mon petit cœur, ma petite Lucy, qui semble avoir elle aussi passé de bonnes vacances chez sa Tata Ju. Nous la ramenons à la maison, un peu perturbée, et allons nous coucher tous les trois, heureux.
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