Comme je vous l'ai donc expliqué, mon système immunitaire étant parti en vacances avant le reste de mon corps, j'ai été, et suis toujours d'ailleurs, gratifiée d'un Godzilarhume de la mort qui tue. Et que fait-on quand on est malade? On dort, on mange de la soupe de poulet et... on regarde des trucs débiles à la télé qu'on voit jamais puisqu'en général, le mardi à 10.30 on est au bureau!
Voilà donc comment, un mardi à 10.30 du mat' de fait, la gorge en feu et le pif débordant de snot, je m'installâme (si si) dans le divan, emmitouflée dans deux couettes, et que, prenant mon courage à deux mains, j'allumasse (si si) la télé. Je passerai sous silence les minutes dérangeantes passées devant la téléboutique, qui vantait les mérites d'une lime à pied, pour en venir à l'essentiel: au milieu de ces images ignominieuses de grand matin, je tombâsse (si si) soudain devant une scène d'un couple partageant un p'tit déj sur une terrasse surplombant un paysage de fou!!! Je me suis dit: "ça c'est en Afrique du Sud"... Mais quelque chose n'allait pas. Un doute me prit soudain: n'était-ce pas plutôt... La Nouvelle Zélande? Scotchée par les prises de vue de ce téléfilm, je me saisi du programme télé pour découvrir avec horreur que je regardais un téléfilm allemand au titre pour le moins évocateur, un truc du genre "Une Nouvelle Vie au Paradis". Obsédée par l'idée de découvrir où donc ces braves acteurs allemands sur le retour avaient été filmé ce film, je me cramponnâsse (si si) à la télécommande et scrutais du mieux que je pu de mes yeux de myope les plaques d'immatriculation, nom de rue ou autres indices éventuels de localisation géographique. Grissom de CSI n'aurait pu faire mieux! Après 20 min de patience, de quoi m'immerger à fond dans ce film romantique à deux cents, j'ai enfin confirmation: oui, il s'agit de la Nouvelle Zélande, car en Afrique du Sud, il n'y a pas de Maori tatoués à ce que je sache...
J'ai donc enfin pu me détendre, me mettre à l'aise, et savourer l'histoire pleine de suspens de ce drame à l'eau de rose teuton se déroulant sur l'île de tous mes rêves. Faut vraiment qu'on y aille Oli et moi!
Voilà, cela dit, j'ai regardé le film jusqu'à la fin, j'ai pleuré à chaudes larmes, j'ai applaudis des deux mimines, j'ai crains pour la vie des personnages, bref, ce fut un très grand moment de cinéma allemand!
Si si!
Voilà donc comment, un mardi à 10.30 du mat' de fait, la gorge en feu et le pif débordant de snot, je m'installâme (si si) dans le divan, emmitouflée dans deux couettes, et que, prenant mon courage à deux mains, j'allumasse (si si) la télé. Je passerai sous silence les minutes dérangeantes passées devant la téléboutique, qui vantait les mérites d'une lime à pied, pour en venir à l'essentiel: au milieu de ces images ignominieuses de grand matin, je tombâsse (si si) soudain devant une scène d'un couple partageant un p'tit déj sur une terrasse surplombant un paysage de fou!!! Je me suis dit: "ça c'est en Afrique du Sud"... Mais quelque chose n'allait pas. Un doute me prit soudain: n'était-ce pas plutôt... La Nouvelle Zélande? Scotchée par les prises de vue de ce téléfilm, je me saisi du programme télé pour découvrir avec horreur que je regardais un téléfilm allemand au titre pour le moins évocateur, un truc du genre "Une Nouvelle Vie au Paradis". Obsédée par l'idée de découvrir où donc ces braves acteurs allemands sur le retour avaient été filmé ce film, je me cramponnâsse (si si) à la télécommande et scrutais du mieux que je pu de mes yeux de myope les plaques d'immatriculation, nom de rue ou autres indices éventuels de localisation géographique. Grissom de CSI n'aurait pu faire mieux! Après 20 min de patience, de quoi m'immerger à fond dans ce film romantique à deux cents, j'ai enfin confirmation: oui, il s'agit de la Nouvelle Zélande, car en Afrique du Sud, il n'y a pas de Maori tatoués à ce que je sache...
J'ai donc enfin pu me détendre, me mettre à l'aise, et savourer l'histoire pleine de suspens de ce drame à l'eau de rose teuton se déroulant sur l'île de tous mes rêves. Faut vraiment qu'on y aille Oli et moi!
Voilà, cela dit, j'ai regardé le film jusqu'à la fin, j'ai pleuré à chaudes larmes, j'ai applaudis des deux mimines, j'ai crains pour la vie des personnages, bref, ce fut un très grand moment de cinéma allemand!
Si si!
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